Entretien #10 – Worakls
Cette semaine, Amnusique a décidé de mettre à l’honneur les artistes d’un jeune label Français qui monte en puissance depuis quelques années. Ce label Parisiano-Marseillais, c’est Hungry Music. Créé par Worakls, N’to et Joachim Pastor en 2013, Hm tire sa spécificité de l’aspect très mélodique de ses productions entre musique minimale, tech-house, deep-house et electronica. A l’occasion de cette semaine spéciale Hungry Music, nous avons eu l’honneur et la chance de réaliser trois entretiens avec les trois créateurs de ce jeune label. Le troisième et dernier artiste à répondre à nos questions est le Parisien Worakls. Bonne lecture à toutes et à tous. (Version Anglaise)
Bonjour Kevin, on est très fiers chez Amnusique de pouvoir te poser quelques questions. Le principe de nos interviews est simple, on te pose d’abord quelques questions classiques sur ton travail puis on passera à des questions plus décalées, qui ne sont qu’un prétexte pour te connaître plus en profondeur. Tu as le droit à un Joker Amnésie si tu ne souhaites pas répondre à l’une de nos questions. En 9 entretiens, un seul artiste a eu besoin de l’utiliser. Tu as la pression ! Allez, c’est parti !
Peux-tu te présenter en quelques mots pour ceux qui ne te connaitraient pas encore ? Qui tu es, d’où tu viens, depuis quand tu fais de la musique, quel est ton style de prédilection etc…
Worakls :
Je suis Worakls, 26 ans, musicien. Je fais de la musique depuis 23 ans maintenant, aujourd’hui j’écoute principalement de la musique classique et musique de film et je compose quelque chose qui pourrait être défini comme une rencontre entre ces styles et la musique électronique.
Habituellement on demande aux artistes d’où viennent leurs noms de scène. Toi on sait que ça vient du mot « oracle », en anglais, auquel tu as ajouté un w et un s à la fin.On va donc partir sur une question sur ton logo, tu peux nous l’expliquer ? On dirait un mélange entre un W et une lyre, c’est ça ?
Worakls :
(rires) Merci beaucoup de m’épargner cette traditionnelle question ! Pour le logo, en fait, c’est juste un W… mais j’ai l’impression qu’il pourrait facilement être dans un test de Rorschach parce que tout le monde y voit un peu ce qu’il veut, un oiseau, un mec les bras en l’air etc …
Tu as des nouvelles du pote avec qui tu avais créé le projet Worakls à la base ?
Worakls :
Oui très souvent, c’est un ami d’enfance de Paris. Maintenant que je n’habite plus en région Parisienne, on se voit un peu moins, mais on se donne des nouvelles assez régulièrement !
Question qu’on a posé à chacun des membres d’hm. Qu’est-ce qui fait ton unicité par rapport aux deux autres artistes du label ? Vos styles sont assez similaires mais il y a forcément un petit quelque chose qui différencie tes morceaux à ceux d’un Joachim Pastor ou d’un N’to ?
Worakls :
Oui bien sûr, même si je pense que notre musique se marie très bien, on a chacun notre style bien défini ! Je dirais que ce qui caractérise ma musique est le fait qu’elle soit composée très souvent par des instruments « classiques », comme des violons, des cuivres, des pianos etc …
Vous vous êtes créée votre propre identité graphique pour Hungry Music. Quand vous sortez des nouveaux morceaux, on reconnait tout de suite qu’il s’agit de vous, avec ces visuels aux dégradés qui vont du bleu au beige/marron et ces photos en fond. Qui est-ce qui a choisi ce style graphique et qui le gère au quotidien ?
Worakls :
On a quelqu’un au sein de l’équipe qui s’en occupe et qui nous a proposé cette idée parmi d’autres lorsque l’on devait choisir la premiere cover. On avait effectivement pour projet de garder une ligne directrice de sorte qu’on puisse reconnaitre les pochettes Hungry Music au premier coup d’oeil. On s’occupe donc de lui fournir les photos et il nous les «Hungrise», tout simplement. Il nous fallait un concept déclinable et facilement reconnaissable. J’imagine que si tu m’en parles c’est que cela fonctionne plutôt bien !
On parle souvent des côtés positifs quand on réussit une carrière dans la musique. Tu peux nous dire, au contraire, ce qui est le plus difficile et le plus contraignant dans cette vie d’artiste ?
Worakls :
Je pense qu’il y a pas mal d’aspects que l’on croit positifs quand on est pas dedans et qui s’avèrent être plus contraignants qu’autre chose. Les «voyages» par exemple. Le fait d’aller jouer à plusieurs heures d’avion de chez soit, plusieurs fois par week end, est très intense. On a bien souvent que deux ou trois heures pour dormir et uniquement une douzaine d’heures dans la ville en question avant de reprendre l’avion. Donc évidemment, pas de tourisme… ni de vacances ! Il y en a évidemment d’autres, mais je ne vais pas m’étendre sur le sujet parce qu’après tout, ça me plait.
On a cru comprendre que tu étais né dans une famille de musiciens, que pensent-ils de ton ascension spectaculaire ?
Worakls :
En fait pas particulièrement, mon père est guitariste autodidacte et ma mère jouait aussi un peu de guitare étant plus jeune, mais je crois ne jamais l’avoir entendu jouer. J’ai un frère et une sœur qui ne sont pas non plus musiciens. Je ne sais pas ce qu’ils en pensent avec grande précision. Je pense qu’ils sont tous assez fiers de moi, autant que je le suis d’eux dans leurs projets personnels ! Mais ils sont surtout attachés à ce que je garde un certain équilibre, ce pour quoi je leur en suis très reconnaissant. On ne passe donc pas notre temps à parler de ça mais plutôt à profiter d’être ensemble quand on a l’occasion de se voir.
Si je te dis « Thug Life », ça t’évoque quoi ?
Worakls :
(rires) Ça m’évoque les tournées avec l’équipe Hungry ! J’ai l’impression qu’il ne se passe pas cinq minutes sans que quelqu’un fasse une connerie. Du coup, quand tout le monde commence à s’y mettre ça devient un peu « thug »… Aight !
Si tu avais pu composer une musique de film déjà existante, une seule et unique, ce serait laquelle et pourquoi ? Nous on est vraiment fans de Rob Dougan mais c’est vrai que c’est compliqué de n’en choisir qu’un…
Worakls :
Matrix donc ? Clubbed To Death ?
Oui ! Furious Angels aussi… il est juste incroyable ce morceau… Château également. Mais c’est vrai que Clubbed To Death ça reste la mélodie la plus marquante de Matrix, avec ce passage mythique au piano.
Worakls :
Elle est super ! Mais par contre je ne suis pas certain qu’il l’ait écrite spécialement pour ça. À vérifier (ndlr : après vérifications, Worakls a effectivement raison) ! Il y en a tellement que j’adore… Battle Royale (Requiem And Prologue), Dark Knight, Inception, Star Wars, Pirates des Caraïbes, Blood Diamond etc … Je ne peux vraiment pas toutes les citer mais je pense que celle qui fait le plus l’unanimité reste «Now We Are Free» de Hans Zimmer pour le film Gladiator.
En tant que fan de football, t’es plutôt Fifa ou PES ? Vous jouez un peu avec la team Hungry Music ou t’es le seul footeux ?
Worakls :
Parmi les artistes, je suis le seul, mais la famille Hungry dispose d’un certain nombre de footixs de très haut niveau. On joue très souvent à Fifa ensemble, pas tous les soirs mais presque ! Une fois la journée terminée… Vers 4 ou 5 heures du mat’.
Et en parlant de jeux-vidéo, ça te tenterait de réaliser des mélodies pour ce type de produits culturels ? Quand on voit l’aspect mélodique hyper présent des Final Fantasy par exemple, on peut se dire qu’il y a quelque chose à faire dans ce sens là non?
Worakls :
Bien sûr ! Je suis même un grand fan de Nobuo Uematsu, le compositeur des Final Fantasy. Tellement fan que j’ai même emmené ma grand-mère à un des concerts de Distant Worlds quand ils sont passés sur Paris. C’est exactement comme la musique de film, c’est quelque-chose qui est très intéressant, si l’occasion se présentait je sauterais sûrement sur l’occasion !
Je sais pas si tu as remarqué mais la publicité utilise aussi de plus en plus la musique électronique pour habiller ses spots. On a notamment pas mal de marques de voitures, comme Citroën pour ne citer qu’elle, qui font appel à des artistes électro Français. T’a-t-on déjà sollicité pour faire cela ? Ou ton style de musique est encore trop éloigné des standards de la pub ?
Worakls :
Non jamais, mais pourquoi pas ?! Ce serait très intéressant aussi. Le fait de travailler avec des contraintes de durée, de style, et d’efficacité, c’est un vrai challenge !
Tu peux nous raconter un peu ton expérience lors de ton live avec l’orchestre philharmonique ? On doit se sentir stressé/petit quand on joue aux côtés de tant de musiciens de talent non ? D’ailleurs comment on traduit sa propre musique pour qu’elle puisse être jouée par des musiciens ? Tu as dû créer des partitions ? Comment ça se passe ce processus ?
Worakls :
C’était effectivement très intense ! J’ai bossé dessus pendant près de 6 mois, pour adapter mes morceaux à l’orchestre dont je disposais. C’est à dire que, même si presque tous mes morceaux sont déjà composés de lignes d’instruments comme le violon, il a fallu quand même organiser une certaine répartition entre les violoncelles, altos, violons, cuivres, trombones, trompettes, chœur etc… J’ai donc fourni les premières partitions à Philippe Gache (chargé de la direction de l’orchestre) pour que l’on puisse les peaufiner. Le Jour-J c’était un moment inoubliable, particulièrement parce que l’ambiance à Marseille était incroyable, mais aussi stressant parce que la moindre erreur de mesure aurait pu être une véritable catastrophe, presque impossible à rattraper.
On a pu voir que lors de votre soirée du 14 février à Lyon, vous étiez tous les trois sur scène avec N’to et Joachim. Joachim était à la guitare et toi au clavier. Cela fait partie de la nouvelle tournée live ou c’est uniquement sur un ou deux morceaux, pour le kiff ?
Worakls :
En fait, on avait à cœur de proposer quelque-chose en plus à l’occasion de la tournée Hungry Music. Comme Joachim joue de la guitare et moi du piano, si N’to lie le tout avec l’électronique, nous voilà un groupe ! On s’est dit allez, on le fait. On va le faire à chaque date de la tournée mais peut être pas forcément avec les mêmes morceaux !
On te voit souvent avec des maillots du Portugal et de Porto, tu sembles vouer un vrai amour pour ce pays, tu y vas régulièrement ? T’as déjà eu l’occasion de jouer en live là-bas ?
Worakls :
Oui, je suis à moitié Portugais et à moitié Français. Pour parler football, mon club de cœur est le FC Porto et j’ai toujours été fan des deux sélections. Je vais au Portugal à peu près tous les deux mois mais je n’y ai encore jamais joué.
Dans la vidéo retraçant votre année 2014, tu évoques la (merveilleuse) idée d’arriver sur scène avec des paréos et des bandanas, en mode créole. Vous avez déjà fait des lives où c’est justement parti un peu « en live » , avec des déguisements ou des moments plus fun ?
Worakls :
Ce serait beau non ? (rires) Non… jamais… mais c’est un de mes souhaits les plus chers…
On a quelques perruques dêgeux si tu le souhaites ! Sinon, tu penses quoi du concept de la boiler-room ? C’est une expérience qui te tenterait ?
Worakls :
Oui pourquoi pas, je trouve ça sympa… J’ai rien contre en tout cas.
Dernière question avant de passer aux questions plus décalées. Tu as fait un remix absolument magnifique du morceau No Man No Cry d’Oliver Koletzki. Ce mec, c’est juste le top en matière de musique House et d’Electronica, tu peux nous expliquer ce qui t’a poussé à réaliser cette version revisitée de son morceau ? C’est une demande de sa part ?
Worakls :
Merci beaucoup ! Non, il ne m’a rien demandé de particulier, si ce n’est de le remixer. J’adore aussi beaucoup de ses morceaux tels qu’ils sont, très pop. Mais je pense que s’il m’a demandé un remix, c’est pour que je puisse y apporter ma touche… Pas pour faire une pâle imitation de ce qu’il aurait fait bien mieux que moi !
On commence avec un classique chez Amnusique, l’album de la honte. T’as forcément eu, plus jeune, un cd ou un single vraiment pourri dont tu as honte aujourd’hui ? Par exemple moi j’ai eu le single « Come Along » de Titiyo, N’to nous a confié avoir possédé « La plus grande discotheque du monde vol 14 », mais on a eu aussi Lou Bega, Darude, Eiffel 65, Technotronic, Masterboy… Je suis sûr que tu peux mieux faire !
Worakls :
C’est même certain ! J’ai eu l’album de Manau, quelques disques du genre 100 % Makina, ou encore un que je te donne parce que je sens que ça va te plaire… mais sans grande honte pour le coup : Pocahontas ! Elles étaient jolies les musiques de ce film, bordel.
Poca-Honte-tas, pour le coup tu colles parfaitement à la question ! Je crois que tu es réellement le champion, tu détrônes N’to, bravo à toi, on te fera parvenir ton trophée rapidement. Au contraire, tu peux nous donner l’album avec un grand A que tu as sur-écouté ?
Worakls :
Deep purple – Made in Japan !
Quand on s’appelle Kevin, qui est certainement l’un des prénoms les plus répandus des années 1990, on se sent forcé de se différencier en faisant quelque chose de grand dans la vie ?
Worakls :
(rires!!) Je ne sais pas mais en tout cas, tu es plus ou moins obligé de choisir un pseudo imprononçable !
Je crois que tu as fait les deux, c’est bien ! Vous faites un peu un ménage à trois avec N’to et Joachim Pastor, vous vous êtes offert des trucs pour la Saint-Valentin ?
Worakls :
On a offert un Cigare à Joachim ! C’est un fan de cigares … Ne me demande pas pourquoi. Il m’a offert un magnifique potard (ndlr : un bouton pour la table de mixage) en bois lui une fois, pas pour la Saint-Valentin mais j’ai joué avec ce soir-là, et les autres soirs aussi d’ailleurs.
Si tu devais changer une seule chose chez N’to et chez Joachim ?
Worakls :
Je les rétrécirais un peu, ils sont beaucoup trop grands.
Au contraire, un truc que tu voudrais leur piquer ?
Worakls :
Je leur piquerais sûrement un ou deux tracks !
Tu dis souvent que c’est Eric Prydz qui t’a donné envie de faire de la musique. C’est pas plutôt son clip de « Call On Me » dans la salle de sport ?
Worakls :
(rires!!) Tu m’étonnes… Non, pas vraiment, ça aurait pu, ce clip suffit pour faire naître une passion c’est clair. Écoute surtout ses morceaux sous le nom de Pryda : Armed, Europa, Muranyi etc…
Tu peux nous donner ton secret pour garder cette coupe de cheveux aussi impeccable ? T’utilises du Vivel Dop ?
Worakls :
Mir laine !
Et pour tes pulls… ? On passe à une petite partie avec des questions qui mélangent football et musique, deux de tes passions :
– C’est toi le sélectionneur. Tu peux nous donner ton équipe type avec tes artistes préférés, toutes époques et styles confondus ? On part sur un 4-4-2 classique. N’oublie pas le brassard de capitaine.
Worakls :
1- Jean Jacques Goldman
2- Wagner 3- Beethoven 4- Mozart 5- Tchaïkovski
6- Ray Charles 7- Deep purple 8- Danny Elfman 9- Vinicius de Moraes
10- John Williams 11- Hans Zimmer
Capitaine : Hans Zimmer
Sélectionneur : Worakls
Si tu devais choisir ton artiste « Pipo Inzaghi », le vieux briscard remplaçant de plus 40 ans toujours aussi bon même en déambulateur ?
Worakls :
Carl Cox ! Même s’il serait plutôt titulaire …
Les trois morceaux « Brandao » de 2014 ? En gros, ceux que t’as envie de mettre définitivement hors-jeu tellement ils sont mauvais ?
Worakls :
Il y en a tellement… Ce serait injuste pour tous les autres que d’en citer seulement trois ! Et puis je risque de me faire des ennemis avec tes questions là … (rires)
Ça sent le Joker Amnésie ça ! Le morceau ou l’artiste « Estelle Denis » de 2014-2015 ? Celui que t’es prêt à demander en mariage tellement tu l’as kiffé(e).
Worakls :
Ame – Rej
Le live « Pepe » auquel tu as pu assister ? Celui qui t’a mis un énorme coup dans la tronche et qui t’a mis sur le cul ?
Worakls :
Extrawelt au Rex Club
Si tu devais choisir un stade et un public de club pour jouer un soir ?
Worakls :
Estadio do dragao – Fc Porto
On t’offre la possibilité de collaborer avec Hans Zimmer mais en contre-partie tu dois choisir d’avoir l’une de ces caractéristiques :
1) avoir la coupe de cheveux de Bernard Diomède :
2) avoir le niveau scolaire de Ribery :
3) te faire tatouer les paroles de « Vivre dans ta lumière« de Youri Djorkaeff
4) avoir le gros cul de Givanildo Vieira de Souza (Hulk) :
5) avoir le rire de Thierry Roland :
1) 2)
3) 4)
5)
Worakls :
Je choisirais d’avoir le cul de Hulk, selon ma copine c’est déjà le cas, donc ça ne me changera pas trop… Par contre je t’avoue avoir hésité avec le rire de Thierry…
On a vu dans une interview qu’un journaliste avait parié un restau avec toi si il réussissait à interviewer Quaresma, ça a donné quoi ce pari ? Nous on te propose un Mac-do si on réussit à interviewer Fabrice Fiorèse, ça te tente ?
Worakls :
Ça a donné que j’ai bien l’impression de m’être fait enfler d’un restau ! Va pour Fabrice ! Si il vient avec son serre-tête il y a moyen de rigoler !
Régine repart en tournée à 85 ans, tu penses/espères que tu feras quoi toi à cet âge-là ?
Worakls :
À 85 ans, je pense que je ferais beaucoup moins le malin, mais avec un peu de chance, j’entendrais encore deux ou trois notes de violons dans un opéra avec mon club du troisième âge.
Tu as plus de 90 000 fans sur Facebook, nous on galère un peu. On a fait les fonds de tiroirs et de poches de chacun des membres d’Amnusique. Tu nous files combien de fans contre 3€55, un briquet bic violet et le jeu Marcel Desailly sur PS One ?
Worakls :
Si tu ajoutes un Big Mac, je t’en file un !
Banco, c’est toujours ça de pris ! Avant-dernière question avant de te laisser en paix.
ouqruop not ertit eibraB tse tircé à srevne’l ?
Worakls :
Joker !
Ça fait deux jokers Amnésie mais comme tu nous as sorti Pocahontas on te l’offre celui-là. On termine avec une dernière tradition sur Amnusique. En souvenir de cet entretien, peux-tu nous faire un selfie de toi ou une photo d’un objet, d’un lieu ou de quelque chose qui te correspond ?
Worakls :
Voilà, c’est terminé ! On te remercie Kevin de nous avoir accordé un peu de ton temps pour répondre à nos questions. On remercie également Joachim, N’to et toute l’équipe d’Hungry Music qui nous a permis de réaliser cette série d’entretiens. Merci à William d’avoir fait le lien entre Amnusique et les artistes. On se donne rendez-vous à Toulouse la semaine prochaine pour une soirée de folie.
Vous pouvez suivre Worakls sur :
Facebook : Ici
Twitter : Ici
Soundcloud : Ici
Pays : France.
Style musical : Electro, Tech-House, Minimaliste.
Nom(s) : Kevin Rodrigues.
L’info en plus : C’est le Suédois Eric Prydz et sa musique qui donnèrent l’envie à Worakls de faire de la musique électronique, son métier à part entière. Il s’est retrouvé à l’un de ses concert à Paris et s’est rendu compte que cette musique pouvait être bien plus qu’un défouloir.
Site web : ici
Maison de disque : Hungry Music.
Publié par : Guillaume, Catégorie(s) : Artistes, Entretiens
Graphiste et illustrateur dans une agence de communication le jour, administrateur et rédacteur web la nuit, Guillaume est le fondateur du site Amnusique.
Sa plus grande fierté ? Il est Carolomacérien. Sa plus grande honte ? Il a possédé (et écouté) l’album de K-Maro durant son adolescence. L’artiste le plus présent de sa playlist ? Très certainement Parov Stelar.